Les clés pour réussir un audit d'acquisition

Les clés pour réussir un audit d’acquisition

Acheter une entreprise n’est pas une opération anodine. Entre la levée de fonds nécessaire et les garanties obligatoires à présenter, ce type de manœuvre exige plusieurs prérequis. On pense notamment à l’étape de l’audit d’acquisition. Si de nouvelles solutions ont vu le jour ces dernières années, cibler la bonne alternative peut vite s’apparenter au parcours du combattant. Sauf si l’on utilise les bons ingrédients. Coup de projecteur sur les méthodes pour optimiser son audit d’acquisition en toute sérénité, sans pour autant débourser une fortune.

Quel intérêt principal ?

Posez la question à tous les experts-comptables au sujet de la priorité numéro 1 d’un audit d’acquisition, vous obtiendrez à coup sûr la même réponse : identifier les zones de risque. En effet, acheter une entreprise déjà existante exige une part de risque non négligeable. Si l’audit permet de mettre en valeur tous les éléments juridiques, comptables, sociaux et fiscaux, il offre surtout la possibilité à l’acheteur de faire le meilleur choix possible. Cependant, réaliser ce genre d’étude requiert un savoir-faire particulier. Voilà pourquoi des cabinets d’expertise comptable comme excelis-conseil.fr ont su se faire une place de choix sur ce marché très concurrentiel…

Des tarifs intéressants

Afin d’éviter les mauvaises surprises, il est fortement recommandé de faire appel à un cabinet d’expertise comptable certifié et bien référencé. Outre le savoir-faire, c’est surtout la qualité d’analyse des informations recueillies qui fait la différence. Pour optimiser vos chances de réussite, n’hésitez pas à consulter les avis des anciens clients. On est jamais trop prudent… En dépit de certaines idées reçues, il n’est pas obligatoire d’avoir un budget XXL pour demander un audit d’acquisition à un cabinet comptable. Penchez-vous sur les tarifs pratiqués, vous vous apercevrez que ce marché est en plein développement dans l’Hexagone. Conséquence, les prix sont relativement bas. Un dernier paramètre qui pourrait bien faire pencher la balance.